Monsieur,
Haut et solide tel un Lancelot,
Vous êtes mon beau joyau.
Hors du temps, des espoirs nouveaux.
En apesanteur, le temps de chaque mot,
Avec corps de promesses sur ma peau.
Rouges et effacés par le temps, les maux
Ephémères et sacrés, ces mots,
Mais en dehors des troupeaux triviaux.
Fort et attachant tel un Lancelot,
Vous êtes mon radieux joyau.
Au milieu d’un silence, aussitôt
De votre voix, chants musicaux,
Offre l’imaginaire d’un Maestro.
M’enveloppant d’un fourreau,
Comme des remparts culturaux,
Où des concertos originaux, digitaux,
Accompagnent Nos instants cruciaux.
Preste et rapide tel un Lancelot,
Vous êtes mon fier joyau.
Je vous attends près des ruisseaux
De Notre vie avec plaisirs optimaux,
Dans une complicité sans quiproquo
Tourbillons bestiaux et séismaux,
Je le sais, Vous serez mon bourreau.
Un bourreau de désirs maximaux,
Me faisant perdre la tête, le ciboulot…
Présent et pressant tel un Lancelot,
Vous êtes mon lumineux joyau.
Se sentir au bord du vide, si haut
Nous élevant au sommet du renouveau,
De Nos nombreux carcans libéraux
Je Vous suis… côté recto, côté verso.
Dans l’ultime parcours du vaisseau
Un écheveau de noirs matériaux
A partir de ce jour, seront mon lot.
Rêvé et glorifié tel un Lancelot,
Vous êtes mon azurant joyau.
Sans demi-mot, Vous êtes mon angelot…
Vôtre p’tite novice